e copilotage en rallye historique est une mission totalement différente pour le copilote. Si les enjeux évoluent, l’ambiance et les autos n’étant pas les mêmes, c’est une toute autre attitude qu’il faut adopter. Point qui reste néanmoins inchangé, l’organisation, qui est parfois encore plus importante en VH !
Lorsque le copilote monte dans un véhicule historique il se doit de prendre en compte l’état du véhicule : le châssis, les freins, la tenue de route. Tous ces éléments déterminent les possibilités de la voiture. Le copilote ne pourra pas encourager un pilote dans une Porsche des années 80 de la même manière que dans une WRC.
A l’origine le VH était vraiment orienté loisirs, aujourd’hui, l’esprit de compétition est de plus en plus présent, avec la mise en place prochainement d’un titre de Champion de France des Rallyes Véhicules Historiques. Au fil des années, le niveau dans la discipline n’a cessé d’augmenter et ce n’est pas prêt de s’arrêter avec l’arrivée de jeunes pilotes qui souhaitent jouer les premiers rôles au volant de voitures mythiques. Aujourd’hui le VH est un dérivé du moderne avec des voitures légendaires.
L’organisation
Jusque là, le VH semblait réservé aux passionnés d’illustres véhicules d’antan. Cependant, la discipline demande parfois encore plus d’organisation qu’en épreuve moderne. Point essentiel de l’organisation : gérer les assistances à chaque fin de spéciale. Le rallye historique a gardé l’ancien système qui consiste à faire l’assistance des voitures à chaque sortie de spéciale et non pas dans un parc d’assistance. Ainsi, le copilote doit calculer les distances entre chaque spéciale pour prévoir un, voir deux camions d’assistance.
Avec l’arrivée d’un véritable esprit de compétition, cette organisation est un point encore plus important pour éviter la faute et les pénalités.
Le système de notes
A l’origine, les systèmes de prise de notes en historique étaient beaucoup plus simples qu’en moderne. Les vitesses étant plus faibles, les notes pouvaient s’autoriser un peu moins de précision. Cette affirmation est de moins en moins vraie avec une évolution considérable du niveau dans la discipline. De plus en plus de pilotes cherchent donc à améliorer leur système de prises de notes pour être plus précis et plus efficaces.
Le copilote ne doit cependant pas oublier qu’il est très important de prendre en compte l’âge du pilote. En effet, certains sont de la « veille école », avec des notes assez aléatoires. Vous pourrez les aiguiller en les familiarisant avec le nouveau système de notes mais rien ne sert de leur imposer quelque chose de trop complexe !
Lorsque le copilote monte dans un véhicule historique il se doit de prendre en compte l’état du véhicule : le châssis, les freins, la tenue de route. Tous ces éléments déterminent les possibilités de la voiture. Le copilote ne pourra pas encourager un pilote dans une Porsche des années 80 de la même manière que dans une WRC.
A l’origine le VH était vraiment orienté loisirs, aujourd’hui, l’esprit de compétition est de plus en plus présent, avec la mise en place prochainement d’un titre de Champion de France des Rallyes Véhicules Historiques. Au fil des années, le niveau dans la discipline n’a cessé d’augmenter et ce n’est pas prêt de s’arrêter avec l’arrivée de jeunes pilotes qui souhaitent jouer les premiers rôles au volant de voitures mythiques. Aujourd’hui le VH est un dérivé du moderne avec des voitures légendaires.
L’organisation
Jusque là, le VH semblait réservé aux passionnés d’illustres véhicules d’antan. Cependant, la discipline demande parfois encore plus d’organisation qu’en épreuve moderne. Point essentiel de l’organisation : gérer les assistances à chaque fin de spéciale. Le rallye historique a gardé l’ancien système qui consiste à faire l’assistance des voitures à chaque sortie de spéciale et non pas dans un parc d’assistance. Ainsi, le copilote doit calculer les distances entre chaque spéciale pour prévoir un, voir deux camions d’assistance.
Avec l’arrivée d’un véritable esprit de compétition, cette organisation est un point encore plus important pour éviter la faute et les pénalités.
Le système de notes
A l’origine, les systèmes de prise de notes en historique étaient beaucoup plus simples qu’en moderne. Les vitesses étant plus faibles, les notes pouvaient s’autoriser un peu moins de précision. Cette affirmation est de moins en moins vraie avec une évolution considérable du niveau dans la discipline. De plus en plus de pilotes cherchent donc à améliorer leur système de prises de notes pour être plus précis et plus efficaces.
Le copilote ne doit cependant pas oublier qu’il est très important de prendre en compte l’âge du pilote. En effet, certains sont de la « veille école », avec des notes assez aléatoires. Vous pourrez les aiguiller en les familiarisant avec le nouveau système de notes mais rien ne sert de leur imposer quelque chose de trop complexe !